L'idée qu' "Israël = nazi" est un trope de la propagande soviétique antisémite
Cet argument est utilisé dans les débats L'antisémitisme de gauche existe-t-il ?, Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ? et Pour ou contre le wokisme ?.
Cet argument est une justification de En nourissant une obsession monomaniaque à la cause palestinienne, la gauche nourrit l'antisémitisme.
Cet argument est une objection à La gauche n'a jamais mené de politique antisémite.
Résumé
Citations
« La propagande soviétique ne se contente alors pas de délégitimer Israël sur des bases marxistes-léninistes, en l’accusant d’impérialisme et de collusion avec la « haute bourgeoisie juive alliée aux grands monopoles des États-Unis » : elle associe aussi Israël au nazisme, ni plus ni moins. Lors de la vaste campagne de presse lancée en juillet 1967, les médias soviétiques qualifient ainsi les Israéliens de « mercenaires d’Hitler ». On peut citer cet exemple notable : « Pendant la Seconde Guerre mondiale, les sionistes […] ont prodigué leurs faveurs aux SS […], les chauvins israéliens ont adopté les théories néonazies de géopolitique et d’espace vital […] sans se soucier du fait que, comme les chefs nazis du passé, ils devront payer pour tout cela ». Selon ces officines du Kremlin, la mission du sionisme consistait à établir un « Lebensraum du Nil à l’Euphrate », où les Juifs seraient un nouveau « Herrenvolk », une race supérieure »
Références
Justifications
Objections
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Une partie de la communauté juive s'est très bien accomodée de l'extrême-droite, et le gouvernement israélien en fait partie
Débats parents