Les taux d'émission de métaux lourds par les incinérateurs étaient tellement importants en 1991, que aujourd'hui, même après une forte baisse, les taux de cadmium et de mercure restent préoccupants.
C’est particulièrement vrai pour le cadmium et le mercure où les usines d’incinération des déchets non dangereux (UIDND) avec récupération d’énergie représentaient à elles seules la quasi-totalité des émissions de Cd et Hg de l’industrie de l’énergie. Les UIDND reste un contributeur important à ces émissions. »