Les cas de xénoglossie relèvent d'un apprentissage inconscient et fragmentaire d'une langue
Mots-clés : aucun
Résumé
Le cerveau humain enregistre inconsciemment un très grand nombre d'informations. En entendant des émissions, ou des locuteurs étrangers ; en ayant eu dans la petite enfance des contacts avec une nounou étrangère, etc., l'individu peut mémoriser certains mots voire certaines phrases et structures simples d'une langue étrangère. Il peut ensuite les "ressortir" en transe, donnant lieu à ce qu'on appelle xénoglossie. Il n'y a pas besoin de croire en une "vie antérieure" pour ce genre de cas.
Citations
Références
Justifications
Objections
Débat parent