La contestation du néolibéralisme conduit à la violence et au totalitarisme
Résumé
Les gens qui contestent le néolibéralisme sont motivés par le ressentiment ; ils désirent prendre la place des classes dirigeantes, et leur discours sur la justice n'est qu'un faux-nez. Animées de tels sentiments de haine et d'envie, les révolutions conduisent les ex-révolutionnaires, s'ils parviennent au pouvoir, à bâtir des palais et à se doter d'avantages pour mieux exploiter leurs peuples. Quand ils sont "purs et durs", ils font tomber les têtes. Le ressort de leur action n'est pas leurs nobles sentiments mais un désir de revanche et un sentiment de déclassement.
Citations
Références
Justifications
Objections
Débat parent