L'extrême-droite fait croire que c'est la gauche l'héritière de l'idéologie nazie

Cet argument est utilisé dans les débats L'État de droit doit-il primer sur la démocratie ?, La démocratie est-elle le meilleur des régimes ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, Le Rassemblement national est-il un parti d'extrême-droite ?, Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ? et Éric Zemmour est-il fasciste ?.

Cet argument est une objection à Hitler et Mussolini annonçaient clairement qu'ils voulaient abolir la démocratie, Hitler et Mussolini inspiraient la terreur et utilisaient des milices, ce qui n'est pas le cas du Rassemblement national et La gauche construit un "danger fasciste" qui n'existe que dans son imagination, par aveuglément ou par calcul.

Mots-clés : aucun

Résumémodifier

L'extrême-droite aime bien prétendre qu'un fasciste ne prend jamais le pouvoir par la voie démocratique pour se dédouaner de son héritage, mais bizarrement n'a aucun problème à accepter que ça puisse être le cas quand ça lui permet de prétendre de façon totalement fallacieuse que c'est la gauche la vraie fasciste.

Citationsmodifier

« Pour étayer leurs propos [sur le caractère prétendument socialiste du nazisme], les tenants de cette thèse absurde s’appuient sur des citations du dictateur et surtout sur le nom de la formation créée par le natif d’Autriche : « parti national-socialiste des travailleurs allemands ». Selon Éric Zemmour, ce serait une preuve irréfutable qu’il s’agirait de « gens de gauche ». »

Victoria Berni, « Confusionnisme : non, le fascisme n’est pas de gauche », Mr Mondialisation, 16 août 2023.

Référencesmodifier

Justificationsmodifier

Objectionsmodifier

Le flirt de certains LFI avec l'antisémitisme et l'islamisme pose un véritable problème
Certains partis de gauche ont cultivé des idées que n'aurait pas renié l'extrême-droite

Débats parents

renommermodifiermodifier